Le jeune homme de Naïm (Lc 7,11-17)
Ce récit du retour à la vie d’un enfant est propre à l’évangéliste Luc et intervient à la suite la guérison de l’esclave du centurion. Ces deux récits ne sont pas sans lien.
François BESSONNET
Bibliste et prêtre (Vendée). → bio
Le centurion de Capharnaüm (Lc 7,1-10)
Comme pour illustrer le discours précédent, sur l’amour des ennemis et la miséricorde à l’image du Père, Luc nous invite à observer la foi d’un centurion.
Une maison sur le roc (Lc 6,46-49)
La métaphore de la maison bâtie sur le roc vient conclure l’ensemble du discours de Jésus à ses disciples les invitant à mettre en pratique ses paroles.
Caïn et le frère assassiné (5) La marque du banni ?
Condamné à l’errance et à l’exil, Caïn craint un plus grave châtiment.
La paille, la poutre et autres paraboles (Lc 6,39-45)
Dans cette dernière partie (6,39-45) Jésus prend le langage imagé de la parabole. À partir de plusieurs "allégories", le discours pointera sur la nécessité de vivre en frères miséricordieux. Après les richesses et les représailles, c'est la suffisance et la prétention à "dominer" son frère que le disciple doit abandonner.
Aimez vos ennemis (Lc 6,27-38)
A la suite des béatitudes, Jésus prolonge son discours aux disciples. Cette deuxième partie est marquée par la double mention de l'amour des ennemis.
Heureux, malheureux (Lc 6,17-26)
Heureux vous les pauvres ... Le discours de Jésus à ses disciples est-il ironique, séditieux ou prometteur ?
Le choix des Douze (Lc 6,12-16)
Le récit de l’appel de douze apôtres ouvre un nouveau volet de l’évangile de Luc et introduit le discours des béatitudes (6,17-26). Il vient également éclairer la figure messianique de Jésus.
Caïn et le frère assassiné (4) Le fratricide
Nous avions laissé Caïn, lors du précédent épisode, seul et silencieux avec sa colère et sa tristesse. Étonnamment, c’est Dieu qui vient rompre ce silence et cette solitude pour relever Caïn qui, malgré cela, assassinera son frère.
Le sabbat et la guérison (Lc 6,6-11)
Ce récit pourrait se rapprocher d’un récit de guérison. Il en sera, effectivement, question. Cependant, le rapport de Jésus au respect du sabbat en est l’enjeu principal durant cette controverse.
Les épis froissés (Lc 6,1-5)
L’épisode vient à la suite des deux controverses avec les pharisiens lors du repas de Lévi (5,27-28 et 5,33-39). Il constitue un autre moment opposant Jésus et ses disciples aux pharisiens et introduit la question du sabbat qui se poursuivra également avec la guérison suivante (6,6-11).
Le repas nouveau de l’Époux (Lc 5,33-39)
Les objections des pharisiens, à l’encontre de Jésus et ses disciples, se poursuivent. Le premier reproche concernait leur fréquentation des pécheurs. Cette fois, c’est leur piété qui est mise en cause.
