François BESSONNET

François BESSONNET

Bibliste et prêtre (Vendée). → bio

Élie le prophète (6) Un nuage comme une main

Le prophète Élie, podcast
C’est un passage très court que nous allons entendre cette fois-ci. Très court et assez singulier au regard de la trame narrative qui, je le rappelle nous a laissé avec le massacre des prophètes de Baal. Dieu avait manifesté dans le feu sa supériorité sur Baal le dieu des saisons et de la nature. Ce petit récit veut-il, justement nous éclairer sur le passage précédent ?

Élie le prophète (5) Le feu au Carmel

Le prophète Élie, podcast
Nous continuons de suivre les aventures d’Élie. Après trois ans de sécheresse divine contre l’idolâtrie d’Acab, le prophète Élie a quitté Sarepta. Avec l’aide d’Abdias, il part délivrer le message du Seigneur : « Va te présenter devant Acab ; je vais envoyer la pluie sur la surface du sol. » Mais c’est un autre dialogue qui semble s’engager entre le roi d’Israël et le prophète de Yahvé.

Élie le prophète (4) Le pain d’Abdias

Le prophète Élie, podcast
Nous avons suivi Élie lors de cette sécheresse en Israël-Samarie jusqu’à Sarepta. Nous allons aujourd’hui revenir à Samarie, d’une manière assez brutale dans la narration, pour rencontrer un nouveau personnage appelé Abdias, le maître du Palais royal, une sorte de premier ministre.

Élie le prophète (3) L’enfant ressuscité

Le prophète Élie, podcast
Nous sommes en pleine sécheresse qui sévit sur Israël et sur la ville Phénicienne de Sarepta où Élie s’est réfugié sur ordre du Seigneur. Tout va relativement bien pour le prophète de Dieu et son hôtesse païenne lorsque survient le drame parmi les plus injustes : l’enfant de la veuve meurt (1R 17,17-24)

La poutre, les chiens et la porte étroite (Mt 7,1-20)

Domenico Fetti, La parabole de la paille et la poutre (détail), 1619
Contrairement à la version de Luc (6,39-45), l’unité de cet extrait ressemble plus à un patchwork qu’à une tapisserie. L’image de la poutre dans l’œil, les perles jetés aux pourceaux, la porte étroite… Cela paraît être l’adjonction de paroles éparses de Jésus, recueillies et mises bout à bout par l’évangéliste. Y a t-il une logique à cet ensemble apparemment disparate ?