La poutre, les chiens et la porte étroite (Mt 7,1-20)

Contrairement à la version de Luc (6,39-45), l’unité de cet extrait ressemble plus à un patchwork qu’à une tapisserie. L’image de la poutre dans l’œil, les perles jetés aux pourceaux, la porte étroite… Cela paraît être l’adjonction de paroles éparses de Jésus, recueillies et mises bout à bout par l’évangéliste. Y a t-il une logique à cet ensemble apparemment disparate ?