Le jardin de Pamplemousse

Le jardin de Pamplemousses est un endroit calme, frais et paisible. Les allées bordées de palmiers mènent nos pas vers des prairies de repos jonchées de fleurs multicolores. Touristes, familles ou groupes de jeunes mauriciens paraissent eux aussi absorbés, envoûtés par la nature enchanteresse.

Cap Malheureux

J-M nous en avait tant parlé, et nous voici arrivés en son village natal : Cap Malheureux, la mal-nommée. Après avoir été reçu par l’oncle et le la tante de Jean-Max nous avons côtoyé,  longé ce petit port touristique où veille paisiblement la petite église rouge

le marché de Quatre-Bornes

Noix de coco

Comment se fait-il que les noix de coco que nous voyons, soient orange plutôt que toilés, brunes et sèches ? Grave question pour le groupe. Y a-t-il différentes espèces ? Problème résolu par Br… Une fois sèche, mûre, la noix de coco paraît celle de nos rêves d’îles et de cocotiers. Le lendemain sur la plage une demi-coque échouée nous rassurait, sans doute un reste de quelques offrandes indoues.

Sur la route

Sur la route les maisons se succèdent avec autant de différentes couleurs, avec autant de diversités que les communautés présentes. Les maisons richement colorées côtoient les masures de tôles ondulées. Chaque habitation est unique et toujours en construction. Des signes religieux indiquent parfois quelques habitats hindous : drapeaux rouges, lieu de prière , ou chrétiens : grotte… Il en est de même sur les étalages des marchés où Jean-Paul II, Jésus, la Vierge voisinent avec les dieux hindous.

le 3 août – Bois-Chéri & Brittania : Thé et Canne à sucre

Bien sûr de nos visites à Bois-Chéri ou à Brittania, nous retiendrons les aspects techniques de la fabrication du thé ou du sucre. Cependant c’est surtout la réalité d’un travail peu rémunéré, des conditions peu sécurisées qui retiendront notre attention.

Petit vendeur ambulant

Un repas sur le pouce pour 10 roupies !! Ce petit marchand ambulant semblait avoir bien de rancœur vis à vis des autres communautés.

Paysage à Flic en Flac

De la villa Abelak à Flic-en-Flac, la vue est magnifique, cocotiers, montagne, bougainvilliers nous narguent de leur splendeur.

Flic en Flac – la faune sous-marine

Un dessin bien maladroit pour dire la splendeur des couleurs des poissons. Cependant, malgré la pureté de l’eau et sa douce température, pas une algue colorée : l’endroit paraît désert… du moins à Flic-en-Flac.

L’île aux cerfs

Ils semblent vouloir échapper aux eaux du lagon, ces mangroves que les pieds nombreux poussent vers le ciel. Verdoyant sur une eau turquoise près des sables blancs de l’île aux Cerfs, ils regardent ces milliers de touristes embarqués sur les pirogues pour visiter les côtes et les cascades.

Tamarin

Le port de Tamarin n’est qu’une vulgaire plage de sable fin. Un groupe de pêcheurs préparent la prochaine sortie en mer, hors du lagon pour pêcher capitaines, caroubes… Les pirogues sont bien frêles comparées à nos navires de pêche.

Tamarin, les ramandeurs

A l’ombre, sous les arbres, ils ramandent. A leur pieds, plusieurs filets les attendent, abîmés lors de la dernière pêche. Assis sur le sable, ils prennent un soin infini, armés de leur navette, à tisser, nouer… Ils parlent et rient tandis que sèchent derrière eux d’autres filets à réparer.

Rivière Noire, Camp guides scout.

J’aurais eu bien du mal à trouver la camp des Guides, si une gentille dame (Marie-Mai) ne s’était offert pour chercher avec moi la troupe cachée au fin fond des salines face au Morne. A ma grande surprise, il n’y a que des blancs, jeunes filles de propriétaires sucrier, d’enseignants etc…(je m’attendais à des créoles). C’est Hélène qui m’accueille. La messe que je dois présider est à peine préparer. Les parents arrivent. Les scouts ont construit un grand feu sur la mer. Le soir tombe. ils chantent de vieilles chansons françaises à succès. Je prend conscience d’un gouffre entre ces deux communautés créole et blanche.

Petite Rivière Noire – Les Salines

De Tamarin à Rivière Noire les salines sont nombreuses. Au lieu de marais, ce sont des carrés pavés de pierres qui servent d’œillets

Anthurium et Bougainvillées

On est en hiver et pourtant la flore est toujours colorée. Un bouquet : Anthurium et Bougainvillées, hérité de l’ordination de J…, orne notre logement.

Aventures en bus

Le système de bus ici est étonnant. Sur toute l’île, ils passent très régulièrement. Pas de poinçonneuse mais un percepteur vient voir chaque voyageur pour régler sa destination. Tous les âges, toutes les communautés sont dès lors transportés dans ces vieux bus brinquebalant et filant à vive allure.

Grand Bassin, temple hindou

Les senteurs des bâtons d’encens envahissent ce lieu de recueillement hindou. Des femmes en saris colorés, accompagné de leurs enfants, des hommes, viennent offrir aux dieux fruits, pétales de fleurs et quelques noix de coco, au bord du lac.

Chamarel, la terre aux sept couleurs

A Chamarel, la terre, de l’ocre au violet, se dégrade. On ne sait comment, on ne sait pourquoi. Palette d’un Dieu créateur pour les plus spirituels d’entre nous, décharge de débris pour les moins poète.

Saint-Martin, Baie du Cap, ordination de J.

La foule est nombreuse malgré un début de célébration pluvieux. Ils sont perchés jusque dans les arbres. La chorale chaloupe les chants rythmés et orchestrés de mains de maîtres

Beelal

Beelal est conducteur de car. Il nous promène au gré d’un programme aléatoire. Sourire toujours aux lèvres, ce jeune musulman ne bronche pas et fait preuve d’une grande gentillesse.

Mahébourg, l’église

Mahébourg est une ville de soleil et de mer. Ses couleurs, ses quartiers simples sont un émerveillement.

Mahébourg, Blue Bay, faune corallienne

Ils sont multiformes, multicolores, ces coraux et ces poissons dans le bleu turquoise de la mer. Sans aucune agressivité, ils viennent jusqu’au plongeurs comme par curiosité.

Mahébourg, quelques volatiles

Sur la terrasse du presbytère, je prends le frais du matin. Des oiseaux viennent chanter non loin sur les branches des arbres.


Mahébourg, le presbytère

Le presbytère de Mahébourg est une maison de type coloniale, fière et apaisante.

Mahébourg, la mosquée

La mosquée se trouve non loin du presbytère. Par hasard, je rencontre Mohammed et Talik(?) qui attendent l’heure de la prière du soir. Comme ils sont en avance, ils me proposent une balade jusque sur les quais. On parle de Dieu mais c’est en arrivant au bord de lamer que ces marins me disent leur inquiétude face au développement de Mahébourg et face à la construction du Waterfront. Je les accompagne jusqu’à la mosquée. La prière vient de commencer. Nous prierons le soir chacun dans nos lieux, les uns pour les autres.

Pirogue aux quatre couleurs

Dans une famille installée au bord de la mer, des pirogues filent sur l’eau poussées par le vent tiède. L’une d’entre elle porte fièrement les couleurs mauriciennes.

Chante-au-vent

Chante-au-vent porte bien son nom. Lors de cette soirée, les guitares sont sorties et les vieilles ballades françaises vont bon train.

Canne à sucre

Un vieux camion transporte la canne à peine coupée tandis qu’un vieille femme revient de son dans les champs. Au loin l’usine sucrière fume et répand un parfum d’artichaut dans toute la plaine- paradoxal pour du sucre…

Le dernier soir (1)

Avant de nous quitter, amis et famille de J…, sommes rassemblés pour une dernière fois. Les ravannes sont sorties et invitent à la danse.

Le dernier soir (2)

Le sega fait se déchaîner, se déhancher. Le rythme, l’ambiance amicale et décontractée nous incitent à danser.

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