Semaine Sainte – 13-20 avril 2025

En vue de cette semaine sainte, je vous propose quelques éclairages bibliques pour chaque jour, à lire et à écouter.
En vue de cette semaine sainte, je vous propose quelques éclairages bibliques pour chaque jour, à lire et à écouter.
Il se fait un peu attendre - et je vous remercie de votre patience - le dernier épisode de notre émission "Le destin de Rébecca" sera en ligne mi-avril.
L'actualité du podcast et du site pour ce mois d'avril 2025 : La fin pour Rébecca et la prochaine émission....
Ce mois d'avril sera marqué par les célébrations de la semaine sainte et de Pâques. A travers ces lectures, il est bon de rappeler combien les récits autour de la Passion sont déjà une victoire qui vient éclairer la Résurrection. Comme aussi, les récits de la manifestation du Ressuscité jettent une lumière nouvelle sur la croix.
Je suis dégoutée de la vie. C'est par ces mots que se termine la geste de Rébecca qui disparaît dès lors du paysage narratif. Au terme de cette série, que conclure du destin de Rébecca ?
Le subterfuge mis en place par Rébecca a fonctionné : Jacob a obtenu la bénédiction de son père, en lieu et place d’Ésaü. Le retour de celui-ci va dévoiler la supercherie aux yeux aveugles d’Isaac, avec ses conséquences dramatiques.
Vieillissant et aveugle, Isaac entreprend d’offrir sa bénédiction à Ésaü. Or, Rébecca décide de faire passer Jacob pour son frère, afin de subtiliser la bénédiction du père.
L'actu en vidéo : Mars 2025. Bible et Carême.
La prospérité d'Isaac suscite la jalousie violente des Philistins. Ceux-ci ne cessent de contester ses puits. Le patriarche doit alors quitter le territoire.
'Seul' est un mot et une situation récurrente dans les évangiles de ce Carême : Jésus au désert ; trois disciples seuls avec le Christ ; sans oublier le solitaire fils prodigue ; ou l'esseulée accusée d'adultère... Tous seuls (?) face à la solitude, à l'adversité et face à leur sauveur.
À Guérar, Isaac fait passer Rébecca pour sa sœur. Un épisode quasi-similaire à celui d’Abraham et Sara auprès de Pharaon (Gn 12) et d'Abimélèk (Gn 20). Quel est le sens de ces doublons ?
Ésaü vendit son droit d’aînesse pour un plat de lentilles. Au-delà de ce qui deviendra une expression proverbiale que raconte ce texte ? Si le récit blâme Ésaü, est-ce le seul personnage à condamner ? En effet, ce texte, qui n’est pas aussi manichéen qu’on pourrait le croire, soulève bien d’autres questions.