Jésus et l’homme riche (Lc 18,18-30)

Heinrich Hoffman, Christ And The Rich Young Ruler, 1899
Celui que Matthieu décrit comme un jeune homme est qualifié par Luc de notable. Ce terme vient en contraste avec la fragilité décrite précédemment pour les disciples devant accueillir le royaume de Dieu comme des enfants.

Jésus, les enfants et le Royaume (Lc 18,15-17)

Jacob Willemsz de Wet, Laissez les enfants venir à moi,1675
Après la parabole de la veuve et du juge, puis celle du publicain et du pharisien, le récit de Luc donne place maintenant aux enfants, donnés en exemple pour l’accueil du règne de Dieu.

La venue du règne de Dieu (Lc 17,20-37)

Henry John Stock, Les Quatre et les 24 anciens, 1911
Dans sa marche vers Jérusalem, une autre rencontre avec les pharisiens amène Jésus à évoquer un thème qui leur est cher : l’avènement du règne de Dieu et du Jugement eschatologique.

La graine et le levain (Lc 13,18-21)

Le passage suit immédiatement l’épisode de la guérison de la femme infirme. Il reprend le même schéma déjà vu lorsque Jésus s’exprime après l’admiration des foules, comme la tempérer.

Une femme infirme (Lc 13,10-17)

Évangéliaire copte, La guérison de la femme courbée ,1250
La guérison d’une femme infirme un jour du sabbat est l’occasion pour Jésus de rappeler combien l’avènement du règne de Dieu donne sens au sabbat, célébrant la délivrance offerte par le Seigneur.

Un figuier dans la vigne (Lc 13,1-9)

Giovanni Domenico Tiepolos, Jésus maudissant le figuier,1800
Le passage précédent avait introduit précédemment la question de la justice divine en lien avec la rétribution, invitant à juger ce qui est juste, comme en ce passage de l’évangile.

Ne vous souciez pas (Lc 12,22-31)

Après l’interpellation d’un homme, le discours de Jésus à ses disciples peut reprendre, éclairé désormais quant à l’orientation de la vie croyante, demandant un réel détachement.

Envers les pharisiens (Lc 11,37-54)

Jacob Jordaen, Le Christ et les pharisiens, 1660
La scène peut rappeler, au lecteur, l’invitation chez Simon le pharisien (7,36-50). Cependant, en cette maison-là, le dialogue sera plus virulent.

Le signe de Jonas (Lc 11,27-36)

Andrea Vaccaro, Jonas prêchant aux habitants de Ninive, XVIIe
En contraste avec les contradicteurs de Jésus, une femme prend son parti et sa défense en déclarant heureuse la mère qui ne peut qu’être fier de ce fils. Elle fait ainsi l’éloge du Christ.

Jésus et les démons (Lc 11,14-26)

Jésus, exrocisme d'un homme possédé à Capharnaüm
Le passage suivant offre un contraste saisissant avec la péricope précédente sur le Notre Père. Alors, que Jésus parlait de prière au Père et du don de l’Esprit Saint, le voici soupçonné d’être au service de Béelzéboul et de démons.