Adam et Eve : à qui la faute ? (6) La femme et le serpent (Gn 3,1b-7)

Adam et Eve, Genèse 2-3, podcast
Le dialogue entre le serpent et la femme soulève beaucoup de questions. De quelle manière le serpent a-t-il pu convaincre le couple humain de braver l’interdit ? Pourquoi s’adresse-t-il à la femme pour cela ? En quoi manger du fruit de la connaissance du bon et du mauvais serait-il dangereux ? Et si le serpent avait raison ?

Jésus et la femme samaritaine (Jn 4,3-42)

Franz Tymmermann, Jésus et la femme de Samarie, 1541
Les passages précédents ont mis en avant la nécessité d’accepter la grâce en Jésus, offrant une nouvelle naissance (3,1-21) cela mieux toute purification par l’eau. D’eau, il en sera justement question avec la rencontre d’une femme samaritaine.

Adam et Eve : à qui la faute ? (5) Mais qui est ce serpent ? (Gn 2,25-3,1a)

Adam et Eve, Genèse 2-3, podcast
Le récit de Gn 2, que nous avons entendu précédemment, rend compte d’une humanité librement créée, par pure gratuité, et orientée vers le bien. Mais dès lors, si tel est le dessein de Dieu, pourquoi l’humanité doit-elle affronter la souffrance, la mort, le mal ? C’est à cette question que veut répondre le chapitre 3 de la Genèse en introduisant, au sein du récit, un étrange serpent.

Jean et l’Époux (Jn 3,22-4,3)

Adam van Noort, La prédication de Jean le baptiste,1601
Faisant suite à la rencontre avec Nicodème, le personnage de Jean réapparait. Il était logique, après un discours sur la grâce et la nouvelle naissance, d'aborder le sens du baptême.

Adam et Eve : à qui la faute ? (4) La chair de ma chair (Gn 2,18-24)

Adam et Eve, Genèse 2-3, podcast
Dans cet épisode, la venue des animaux et de la femme répond à la problématique posée par le narrateur :’il n’est pas bon que l’homme soit seul’. Femme et monde animal ont-ils à être considérés comme des compléments serviles pour combler la solitude de notre adam ?

Nicodème (2/2) Pour que le monde soit sauvé (Jn 3,13-21)

Matthias Stom, Le Christ t Nicodème, 1640
La rencontre avec Nicodème (Jn 3,1-12) a mis en avant la personne même du Christ qui, par sa parole, offre une nouvelle naissance au croyant, le faisant entrer dans le Royaume. Mais la venue de l’envoyé de Dieu ne s’impose pas d’emblée, y compris (et surtout) au temps de la communauté johannique.

Nicodème (1/2) La nouvelle naissance (Jn 3,1-12)

Henry Ossawa Tanner, Jésus et Nicodème, 1899
Le récit précédent nous a laissé, pour la fête de la Pâque, à Jérusalem, après le chambardement au Temple (2,13-22). Après cela, l’activité publique de Jésus suscitait une adhésion, cependant davantage en raison de ses signes que de sa personne (2,23-25). C’est à cette foi lacunaire que veut répondre l’évangéliste en proposant ce dialogue entre Jésus et Nicodème.

Première confrontation au Temple (Jn 2,13-25)

Alessandro Maganza, Jesús en el Templo, 1630
L’eau changée en vin à Cana nous avait introduit au premier des signes de Jésus, à l’occasion d’une fête nuptiale. De signe et de fête, il en sera encore question dans le passage suivant mais de manière inattendue.

Adam et Eve : à qui la faute (2) La terre de l’adam (Gn 2,4b-7)

Adam et Eve, Genèse 2-3, podcast
Deuxième épisode consacré au récit biblique d’Adam et Eve. En réalité ces noms Adam et Eve ne leur seront donnés lors de la toute dernière scène, après l’éviction du jardin d’Éden. Dans ce chapitre 2 du livre de la Genèse, ils ne seront jamais appelés ainsi. D’ailleurs, c’est par cet absence de tout nom, de toute être que débute notre récit.

Premier signe à Cana (Jn 2,1-12)

Mariage a Cana, Andrei Nicolai Mironov, 2017
De l'eau changée en vin : l'épisode est connu. Tiré de l'évangile selon saint Jean (2,1-11), ce passage est celui qui ouvre le ministère de Jésus après l'appel des disciples.

Premiers disciples (Jn 1,35-51)

Le Caravage, l'appel d'André et Pierre, 1603.
Le témoignage de Jean est essentiel pour susciter la curiosité de deux futurs disciples. Le récit de l’appel des premiers disciples chez Jean ressemble fort à une annonce missionnaire qui ne cesse de se déployer. Mais en définitive, elle suscite plus de questions, de doutes que d’enthousiasmes jusqu’à ce que le Verbe fait chair s’exprime. Progressivement, à sa parole, le rabbi suivi est confessé Fils de Dieu, roi d’Israël.